Le Topic de la Philosophie
+2
Vraeline
Matt-matt
6 participants
Page 1 sur 1
Le Topic de la Philosophie
AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
Mais il est taré de créer le topic de la mort!!!!!
Calmer vous messieurs dames. Ce n'est pas pour en parler, mais seulement pour que vous donniez vos avis sur ce que les malheureux Terminales, dont je fais parti, ont fait.
Et puis qui sait, dans le pire des cas, ca ne peut que vous rendre moins con.
Voici donc mon premier DM de philo. Tention vla le paver de la mort:
Depuis fort longtemps, l'Homme consacre énormement de temps à l'art. Mais est-ce une bonne chose? L'Homme ne devrait-il pas consacrer le temps qui lui est accordé sur cette terre à autre chose ? Cela nous amène à nous poser la question: Peut on dire que l'art est un besoin. C'est une question qui date d'aussi longtemps que l'art lui même, et nous allons essayer de voir ce qui fait de l'art ce qu'on pourrait peut être appeler un « besoin contigent ».
L'art apparaît comme étant clairement quelquechose d'inutile au premier abord.
Le temps que l'on passe à laisser parler son esprit artistique et du temps que l'on ne passe pas à assouvir ses besoins . L'art apparait donc comme quelquechose de non fructueux puisqu'il éloigne l'Homme de son but qui est tout simplement de survivre.
L'art pourrait donc passer pour quelquechose de futile si l'on n'adopte qu'un regard purement survivaliste voire même quelquechose de néfaste puisqu'il ne serait qu'une distraction du droit chemin. Mais l'art au delà du fait de ne pas être indispensable à la survie physique pourrait bien être indispensable à la survie spirituelle.
En effet, l'art remplit de nombreuses fonctions qui semblent nécessaire pour étoffer la vie de l'être humain et lui faire oublier
On peut tout d'abord associer l'art à la quête du beau. Cette quête fait partie pour certaines personnes des objectifs de la vie, et pour les autres, même si ce n'est pas à ce point important, cela fait tout de même partie des préoccupations principales. Ceci est d'autant plus vrai dans notre société actuelle où tout (ou presque) est sacrifié à l'image.
On peut également voir la beauté de l'art comme un échapatoire à l'horreur du monde dans lequel nous vivons. En effet, des milliers de gens souffrent, l'art peut donc être un moyen de l'oublier temporairement. Cet argument pourrait être très discutable, car cela reviendrait à faire preuve d'une certaine hypocrisie. Mais en allant pas aussi loin dans cette idée, et si l'on se concentre uniquement sur nos soucis personels (argent, travail, amour ...) cet argument reste plus honorable et peu être même plus parlant car il faut l'avouer, peu de personne se soucient vraiment tout le temps de la misère du monde.
Néanmoins, l'art peut être utilisé pour dénoncer/critiquer l'horreur du monde dont nous avons parlé peu avant. En effet, nombreux sont les artistes qui préfèrent faire usage de l'art plutôt que de la parole (si l'on met de coté l'art oratoire) afin d'exprimmer leurs pensées ... qu'elles soient critiques ou non. On peut même développer une certaine admiration pour des artistes. En effet, une personne que l'ont peut appeler « artiste » maitrise, si l'on suit l'éthymologie du mot, parfaitement son art. Ainsi un musicien sera un maitre dans l'art de la guitare, de la batterie ou que savons nous encore.
Par ailleurs, pour que ces artistes maitrisent à ce point leur art et produisent de bels oevres, il pratiquent les mêmes actions que pour tout travail: pensée, entrainement, production. En effet, même Mozart ne « balancais » pas des notes sur une partition sans réflexion. Personne n'atteint le niveau de Kirk Hammet à la guitare sans entrainement. Et de cette réflexion et de cet maitrise découle la qualité production. Il est n éanmoins des cas ou certaines personnes font de l'art les yeux fermés sans penser à quoi que ce soit. On pourrait prendre par exemple un peintre qui peint les yeux fermés sans réel but. On pourrait penser que cet artiste fait de l'art qui n'est pas du travail. Mais contrairement à ce que l'on croit au premier abors, il suit bel et bien des règles, et il y a bel et bien réflexion. Le fait est que c'est le sub-conscient qui travaille dans ce cas. Nous pourrions nous étendre plus sur le sujet à savoir si l'on peu parler de travail pour le sub-conscient mais nous nous éloignerions du sujet ( et nous n'avons encore rien apris sur le sujet ). Donc l'art (sous toutes ces formes) s'apparente à du travail. Cela est d'autant plus vrai que certaines personnes vivent de leur art. La différence que l'on pourrait trouver: c'est que le travail utilise les capacités à penser/imaginer/rêver tandis que l'art utilise en plus les capacités à faire penser/imaginer/rêver.
Au vu de cela, on pout donc dire que l'art est le propre de l'homme ( du à la parenté avec le travail) mais on peut peut être même aller jusqu'à dire que l'art serait un prolongement de l'homme.
Bien que l'art soit quelquechose de contigent à la survie, il s'apparente clairement à du travail. Il va peut être même plus loin car il fait ressentir tout le travail necessaire à sa conception, ce qui n'est pas vraiment le cas pour une feuille de comptabilité par exemple. L'art transcande donc même le travail qui est pourtant le propre de l'homme.
Donner moi vos avis vite, je dois le rendre demain ^^
Mais il est taré de créer le topic de la mort!!!!!
Calmer vous messieurs dames. Ce n'est pas pour en parler, mais seulement pour que vous donniez vos avis sur ce que les malheureux Terminales, dont je fais parti, ont fait.
Et puis qui sait, dans le pire des cas, ca ne peut que vous rendre moins con.
Voici donc mon premier DM de philo. Tention vla le paver de la mort:
Depuis fort longtemps, l'Homme consacre énormement de temps à l'art. Mais est-ce une bonne chose? L'Homme ne devrait-il pas consacrer le temps qui lui est accordé sur cette terre à autre chose ? Cela nous amène à nous poser la question: Peut on dire que l'art est un besoin. C'est une question qui date d'aussi longtemps que l'art lui même, et nous allons essayer de voir ce qui fait de l'art ce qu'on pourrait peut être appeler un « besoin contigent ».
L'art apparaît comme étant clairement quelquechose d'inutile au premier abord.
Le temps que l'on passe à laisser parler son esprit artistique et du temps que l'on ne passe pas à assouvir ses besoins . L'art apparait donc comme quelquechose de non fructueux puisqu'il éloigne l'Homme de son but qui est tout simplement de survivre.
L'art pourrait donc passer pour quelquechose de futile si l'on n'adopte qu'un regard purement survivaliste voire même quelquechose de néfaste puisqu'il ne serait qu'une distraction du droit chemin. Mais l'art au delà du fait de ne pas être indispensable à la survie physique pourrait bien être indispensable à la survie spirituelle.
En effet, l'art remplit de nombreuses fonctions qui semblent nécessaire pour étoffer la vie de l'être humain et lui faire oublier
On peut tout d'abord associer l'art à la quête du beau. Cette quête fait partie pour certaines personnes des objectifs de la vie, et pour les autres, même si ce n'est pas à ce point important, cela fait tout de même partie des préoccupations principales. Ceci est d'autant plus vrai dans notre société actuelle où tout (ou presque) est sacrifié à l'image.
On peut également voir la beauté de l'art comme un échapatoire à l'horreur du monde dans lequel nous vivons. En effet, des milliers de gens souffrent, l'art peut donc être un moyen de l'oublier temporairement. Cet argument pourrait être très discutable, car cela reviendrait à faire preuve d'une certaine hypocrisie. Mais en allant pas aussi loin dans cette idée, et si l'on se concentre uniquement sur nos soucis personels (argent, travail, amour ...) cet argument reste plus honorable et peu être même plus parlant car il faut l'avouer, peu de personne se soucient vraiment tout le temps de la misère du monde.
Néanmoins, l'art peut être utilisé pour dénoncer/critiquer l'horreur du monde dont nous avons parlé peu avant. En effet, nombreux sont les artistes qui préfèrent faire usage de l'art plutôt que de la parole (si l'on met de coté l'art oratoire) afin d'exprimmer leurs pensées ... qu'elles soient critiques ou non. On peut même développer une certaine admiration pour des artistes. En effet, une personne que l'ont peut appeler « artiste » maitrise, si l'on suit l'éthymologie du mot, parfaitement son art. Ainsi un musicien sera un maitre dans l'art de la guitare, de la batterie ou que savons nous encore.
Par ailleurs, pour que ces artistes maitrisent à ce point leur art et produisent de bels oevres, il pratiquent les mêmes actions que pour tout travail: pensée, entrainement, production. En effet, même Mozart ne « balancais » pas des notes sur une partition sans réflexion. Personne n'atteint le niveau de Kirk Hammet à la guitare sans entrainement. Et de cette réflexion et de cet maitrise découle la qualité production. Il est n éanmoins des cas ou certaines personnes font de l'art les yeux fermés sans penser à quoi que ce soit. On pourrait prendre par exemple un peintre qui peint les yeux fermés sans réel but. On pourrait penser que cet artiste fait de l'art qui n'est pas du travail. Mais contrairement à ce que l'on croit au premier abors, il suit bel et bien des règles, et il y a bel et bien réflexion. Le fait est que c'est le sub-conscient qui travaille dans ce cas. Nous pourrions nous étendre plus sur le sujet à savoir si l'on peu parler de travail pour le sub-conscient mais nous nous éloignerions du sujet ( et nous n'avons encore rien apris sur le sujet ). Donc l'art (sous toutes ces formes) s'apparente à du travail. Cela est d'autant plus vrai que certaines personnes vivent de leur art. La différence que l'on pourrait trouver: c'est que le travail utilise les capacités à penser/imaginer/rêver tandis que l'art utilise en plus les capacités à faire penser/imaginer/rêver.
Au vu de cela, on pout donc dire que l'art est le propre de l'homme ( du à la parenté avec le travail) mais on peut peut être même aller jusqu'à dire que l'art serait un prolongement de l'homme.
Bien que l'art soit quelquechose de contigent à la survie, il s'apparente clairement à du travail. Il va peut être même plus loin car il fait ressentir tout le travail necessaire à sa conception, ce qui n'est pas vraiment le cas pour une feuille de comptabilité par exemple. L'art transcande donc même le travail qui est pourtant le propre de l'homme.
Donner moi vos avis vite, je dois le rendre demain ^^
Matt-matt- Messages : 214
Date d'inscription : 16/01/2010
Age : 31
Localisation : Normandie
Re: Le Topic de la Philosophie
Bah moi j'ai jamais fait de philo...
Mais...
Moi je dis que ça a l'air pas mal ^^
Mais...
Moi je dis que ça a l'air pas mal ^^
Vraeline- Messages : 103
Date d'inscription : 06/08/2010
Age : 32
Re: Le Topic de la Philosophie
euh ... ta fait sa en combien de temps, car moi sa fait 5jours que je suis sur ma disserte et page blanche, sauf se matin ou j'ai eu l'inspiration et je l'est fini mais elle faite une page recto verso + une demi page T-T (pas mal pour mon petit esprit)
xagilex- Messages : 249
Date d'inscription : 15/01/2010
Age : 31
Localisation : 14
Re: Le Topic de la Philosophie
Tu devrai dire pas mal pour n esprit si étroit è_è
Fabinou- Messages : 73
Date d'inscription : 15/01/2010
Age : 32
Localisation : Un peu partout^^
Re: Le Topic de la Philosophie
Pour tout te dire xa, j'avais trouvé 90% de mes arguments PENDANT que le prof nous donnait le sujet et nous expliquait tout ^^. C'est ca être un esprit supérieur
Matt-matt- Messages : 214
Date d'inscription : 16/01/2010
Age : 31
Localisation : Normandie
Re: Le Topic de la Philosophie
C'est une bonne vision de l'art =O mais ya pas un peu trop de " en effet"?
Mais sinon bravo!!!
Mais sinon bravo!!!
renebre- Messages : 99
Date d'inscription : 31/07/2010
Age : 29
Localisation : Lyon
Re: Le Topic de la Philosophie
mdr attend je la lit et après je ferais un vrai commentaire dessus mais la il est tard est je taff tout a l'heure alors plus tard veut tu ^^
LenaleLee- Messages : 230
Date d'inscription : 14/01/2010
Age : 33
Localisation : Quelque par ....
Re: Le Topic de la Philosophie
Comme d'hab lena a pas lu ^^
Bon pour info cette superbe disserte a recu la splendide note de 5 pour cause de HS ^^"
Je ne peux donc avoir que mieux avec le nouveau sujet que voici:
"Que gagne-t-on à travailler?"
De tous temps, l'homme a du travailler pour pallier à sa faiblesse naturelle. Mais au delà de sa survie, que gagne-t-il? Le travail est il vraiment une activité rentable? On peut degager une question latente de ce problème: que gagne-t-on a ne pas travailler? Il peut être judicieux de traiter cette question en premier puis de revenir sur le vif du sujet. Précisons tout d'abord que nous allons différencier les loisirs, qui pourrait être considéré comme du travail puisqu'il modifient la nature de la personne, du travail. Lorsque nous parlerons de travail, cela pourra être une activité qui modifie la nature du travailleur mais une activité productrice.
Le travail coute du temps, et le temps c'est à la base la seule « valeur » dont l'homme dispose. A partir de la, consacrer du temps à une activité fatiguante, déplaisante, etc. ne serait-il donc pas une perte de temps ? En effet, ce temps consacré au travail empiète sur notre temps libre. Ce temps libre nous permet de pratiquer des activités, loisirs, qui vont nous permettre d'en retirer un certain gain. Tout d'abord, la pratique d'un loisir va forcément entrainer un gain d'expérience dans la maitrise de cette activité, comme un pianiste qui va pouvoir jouer des partitions de plus en plus difficiles. Mais la pratique d'une telle activité va aussi changer l'homme intérieurement ; cela peut aussi changer sa perception des choses. Prenons l'exemple de la danse classique: toute personne n'ayant jamais pratiqué cet art n'a pas conscience de toutes les difficultés qui le composent et le spectateur lambda ne se vera pas impressionnée par les mêmes chose qu'une personne ayant pratiqué. Le spectateur lambda percevra peut être moin bien toute la beauté et la grâce de l'art.
Le travail apparaît donc comme une activité qui nous fait perdre du temps puisqu'il semblerait que l'on puisse gagner les même choses, et même plus, en ne travaillant pas qu'en travaillant. Néanmoins, avant de pouvoir conclure de la sorte, posons nous une question: il y a t-il quelquechose que l'on ne peux obtenir que par le travail.
Séparons le travail comme il peut l'être de nos jours: le travail minimum et le surtravail. Le travail minimum est le temps de travail necessaire pour que l'ouvrier soit rentable, c'est à dire qu'il ait produit une valeur équivalente à son salaire. Donc le temps de surtravail est du temps de travail où il ne gagne pour ainsi dire rien puisque son salaire ne se verra pas augmenter, il ne fait que perdre de la force de travail et du temps. On peut donc revenir sur ce qui a été dit précédement: le travail ne fait pas perdre du temps, il en prend et il s'avère que parfois il en fait perdre (cf le temps de surtravail).
Le terme « travail minimum » est interessant, puisqu'il exprime bien l'idée qu'il est necessaire de travailler un minimum. En effet, il est fortement recommandé de travailler ne serait-ce qu'un peu pour avoir de quoi survivre. Cela démontre par ailleurs le coté interessé du travail. En effet, on a tout interet à travailler mais on n'en ressort pas necessairement plus riche puisque que l'on n'est rémunéré que de quoi restaurer sa force de travail (si l'on reste dans l'exemple de l'ouvrier de base). Le travail est donc interessé mais on ne gagne pas toujours.
Il est néanmoins des cas où le travailleur gagne plus que necessaire pour restaurer sa force de travail. Dans ce cas, le travail permet de s'offrir des chose d'agrément, du luxe. Le travail permet donc d'obtenir des bien matériels non necessairement essentiel mais qui offre un confort de vie parfois non négligable.
Il nous faut également parler des cas de l'aliénation au travail. Travailler « pour rien » est une chose, mais perdre quelquechose en travaillant est une chose plus grave, à fortiori lorsque la chose perdu est soi même. Cela va même à l'encontre du principe du « travail comme activité productrice » puisqu'ici le travail « détruit » le travailleur. Cet aspect du travail s'avère donc être une abération. A contrario, certaines personnes s'épanouissent pleinement dans leur travail et ce dernier devient pour eux une sorte de loisir. Dans ce cas, le travail est clairement une activité rentable puisqu'il rassemble, en plus de ses propres gains, ceux du loisirs (éxpérience et modification intérieure).
Cette liaison ne se fait pas que dans le cas d'un travail-passion. En effet, tout travail réfléchi, entendez par la tout travail qui n'est pas mécanique (comme le travail à la chaine), rapporte de l'expérience. Cette expérience peut être uniquement appliquée à l'amélioration de la qualité/rapidité du travail ou parfois également à l'amélioration du travailleur lui même.
On se rend donc compte que la séparation faite entre loisir et travail est ténue puisque les 2 rapporte généralement de l'expérience l'un rapporte en plus du profit tandis que l'autre rapporte en plus un épanouissement intérieur. Mais il est aussi des cas où le travail est un loisir et où il rapporte tout cela à la fois.
PS: en fait si je l'envoie c'est pour etre sur de la retrouvé au cas ou mon ordi tout intelligent qu'il est, aurait la bonne idée de me l'effacer... il a dailleurs l'air d'etre parti pour: il veut pas l'enregistrer ce con
EDIT:
lol j'avais laissé la presentation (nom prenom classe ... ^^")
Bon pour info cette superbe disserte a recu la splendide note de 5 pour cause de HS ^^"
Je ne peux donc avoir que mieux avec le nouveau sujet que voici:
"Que gagne-t-on à travailler?"
De tous temps, l'homme a du travailler pour pallier à sa faiblesse naturelle. Mais au delà de sa survie, que gagne-t-il? Le travail est il vraiment une activité rentable? On peut degager une question latente de ce problème: que gagne-t-on a ne pas travailler? Il peut être judicieux de traiter cette question en premier puis de revenir sur le vif du sujet. Précisons tout d'abord que nous allons différencier les loisirs, qui pourrait être considéré comme du travail puisqu'il modifient la nature de la personne, du travail. Lorsque nous parlerons de travail, cela pourra être une activité qui modifie la nature du travailleur mais une activité productrice.
Le travail coute du temps, et le temps c'est à la base la seule « valeur » dont l'homme dispose. A partir de la, consacrer du temps à une activité fatiguante, déplaisante, etc. ne serait-il donc pas une perte de temps ? En effet, ce temps consacré au travail empiète sur notre temps libre. Ce temps libre nous permet de pratiquer des activités, loisirs, qui vont nous permettre d'en retirer un certain gain. Tout d'abord, la pratique d'un loisir va forcément entrainer un gain d'expérience dans la maitrise de cette activité, comme un pianiste qui va pouvoir jouer des partitions de plus en plus difficiles. Mais la pratique d'une telle activité va aussi changer l'homme intérieurement ; cela peut aussi changer sa perception des choses. Prenons l'exemple de la danse classique: toute personne n'ayant jamais pratiqué cet art n'a pas conscience de toutes les difficultés qui le composent et le spectateur lambda ne se vera pas impressionnée par les mêmes chose qu'une personne ayant pratiqué. Le spectateur lambda percevra peut être moin bien toute la beauté et la grâce de l'art.
Le travail apparaît donc comme une activité qui nous fait perdre du temps puisqu'il semblerait que l'on puisse gagner les même choses, et même plus, en ne travaillant pas qu'en travaillant. Néanmoins, avant de pouvoir conclure de la sorte, posons nous une question: il y a t-il quelquechose que l'on ne peux obtenir que par le travail.
Séparons le travail comme il peut l'être de nos jours: le travail minimum et le surtravail. Le travail minimum est le temps de travail necessaire pour que l'ouvrier soit rentable, c'est à dire qu'il ait produit une valeur équivalente à son salaire. Donc le temps de surtravail est du temps de travail où il ne gagne pour ainsi dire rien puisque son salaire ne se verra pas augmenter, il ne fait que perdre de la force de travail et du temps. On peut donc revenir sur ce qui a été dit précédement: le travail ne fait pas perdre du temps, il en prend et il s'avère que parfois il en fait perdre (cf le temps de surtravail).
Le terme « travail minimum » est interessant, puisqu'il exprime bien l'idée qu'il est necessaire de travailler un minimum. En effet, il est fortement recommandé de travailler ne serait-ce qu'un peu pour avoir de quoi survivre. Cela démontre par ailleurs le coté interessé du travail. En effet, on a tout interet à travailler mais on n'en ressort pas necessairement plus riche puisque que l'on n'est rémunéré que de quoi restaurer sa force de travail (si l'on reste dans l'exemple de l'ouvrier de base). Le travail est donc interessé mais on ne gagne pas toujours.
Il est néanmoins des cas où le travailleur gagne plus que necessaire pour restaurer sa force de travail. Dans ce cas, le travail permet de s'offrir des chose d'agrément, du luxe. Le travail permet donc d'obtenir des bien matériels non necessairement essentiel mais qui offre un confort de vie parfois non négligable.
Il nous faut également parler des cas de l'aliénation au travail. Travailler « pour rien » est une chose, mais perdre quelquechose en travaillant est une chose plus grave, à fortiori lorsque la chose perdu est soi même. Cela va même à l'encontre du principe du « travail comme activité productrice » puisqu'ici le travail « détruit » le travailleur. Cet aspect du travail s'avère donc être une abération. A contrario, certaines personnes s'épanouissent pleinement dans leur travail et ce dernier devient pour eux une sorte de loisir. Dans ce cas, le travail est clairement une activité rentable puisqu'il rassemble, en plus de ses propres gains, ceux du loisirs (éxpérience et modification intérieure).
Cette liaison ne se fait pas que dans le cas d'un travail-passion. En effet, tout travail réfléchi, entendez par la tout travail qui n'est pas mécanique (comme le travail à la chaine), rapporte de l'expérience. Cette expérience peut être uniquement appliquée à l'amélioration de la qualité/rapidité du travail ou parfois également à l'amélioration du travailleur lui même.
On se rend donc compte que la séparation faite entre loisir et travail est ténue puisque les 2 rapporte généralement de l'expérience l'un rapporte en plus du profit tandis que l'autre rapporte en plus un épanouissement intérieur. Mais il est aussi des cas où le travail est un loisir et où il rapporte tout cela à la fois.
PS: en fait si je l'envoie c'est pour etre sur de la retrouvé au cas ou mon ordi tout intelligent qu'il est, aurait la bonne idée de me l'effacer... il a dailleurs l'air d'etre parti pour: il veut pas l'enregistrer ce con
EDIT:
lol j'avais laissé la presentation (nom prenom classe ... ^^")
Matt-matt- Messages : 214
Date d'inscription : 16/01/2010
Age : 31
Localisation : Normandie
Re: Le Topic de la Philosophie
je fait pareil avec mais dessin je les mais en ligne histoire d'avoir de quoi les récupérer =)
Sinon beau petit sujet que voila j'ai une petite citation sympa sur le travaille :
" L'homme n'est pas fait pour travailler , la preuve sa l'épuise ! "
Sinon beau petit sujet que voila j'ai une petite citation sympa sur le travaille :
" L'homme n'est pas fait pour travailler , la preuve sa l'épuise ! "
LenaleLee- Messages : 230
Date d'inscription : 14/01/2010
Age : 33
Localisation : Quelque par ....
Re: Le Topic de la Philosophie
Merci pour cette modeste contribution lena mais le sujet est rendu la ^^
Matt-matt- Messages : 214
Date d'inscription : 16/01/2010
Age : 31
Localisation : Normandie
Re: Le Topic de la Philosophie
pas grave é_é
LenaleLee- Messages : 230
Date d'inscription : 14/01/2010
Age : 33
Localisation : Quelque par ....
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum